La phobie sociale
Les caractéristiques habituelles associées à la phobie sociale comprennent une hypersensibilité à la critique, à une évaluation négative ou au rejet, une difficulté à manifester de l’assurance, une faible estime de soi ou des sentiments d’infériorité. La personne craint souvent une évaluation indirecte par les autres telle que passer un examen. Il peut manifester de mauvaises compétences sociales ou des signes observables d’anxiété. Généralement, il ne peut pas obtenir de résultats en rapport avec ses capacités du fait d’une anxiété ou d’un évitement lorsqu’il doit parler dans un groupe, en public, aux figures d’autorité et /ou aux collègues…
Anxiété
L’anxiété fait partie de la gamme variée des émotions humaines. L’anxiété est une réponse adaptative à des évènements de la vie courante ou au stress quotidien. L’anxiété est nécessaire, elle nous met en éveil face à un danger, elle nous permet d’assurer notre survie. L’anxiété est donc une émotion normale. En revanche, elle devient problématique lorsque cette émotion est incontrôlable, handicapante et inadaptée.
Lorsque l’anxiété persiste au point d’interférer avec la capacité de s’occuper des activités quotidiennes et qu’elle perturbe la vie, elle devient pathologique et peut prendre la forme d’un trouble anxieux.
Gestion du stress
Le stress est la réponse non spécifique de l’organisme à toute demande d’adaptation qui lui est faite, qu’elle soit mentale ou somatique. Hans Selye, physiologiste.Le terme « stress » provient de l’anglais et il a le sens de « contrainte » qui s’exerce sur quelque chose et qui produit une tension (strain). Le mot stress est également issu du latin « stringere » (serré). Le stress devient un problème lorsque nous ne savons pas comment aborder un évènement ou une situation. C’est alors que l’inquiétude entre en jeu et que nous sentons « stressés »…
Procrastination
La Procrastination désigne la tendance à remettre systématiquement au lendemain des actions (qu’elles soient limitées à un domaine précis de la vie quotidienne ou non). A un moment ou à un autre, nous avons tous reporté au lendemain certaines tâches que nous devions accomplir. Puis le lendemain nous avons encore reporté au jour suivant, jusqu’au moment où il n’était plus possible de reporter davantage. Pris au pied du mur la tâche a du être réalisée en catastrophe ou abandonnée. Pour certaines personnes, ce scénario n’est peut-être pas uniquement un mauvais souvenir mais une habitude qui s’est installée…
Relaxation
La relaxation englobe l’ensemble des techniques qui permettent d’obtenir une réponse de relaxation. La réponse de relaxation correspond à un état marqué par une diminution du niveau d’alerte, de la fréquence cardiaque et respiratoire et de la tension artérielle: il en résulte une sensation de détente et de bien-être.
Cet état physiologique s’oppose aux manifestations constatées lors de la réponse au stress et dans les état de tension et d’anxiété. La relaxation est associée à de nombreuses pratiques dont certaines sont très anciennes et qui n’ont pas toutes une vocation thérapeutique…
Le deuil
Pour l’individu, la perte d’un être cher conduit à un déséquilibre, à une souffrance intense, pouvant avoir des conséquences importantes sur le psychisme : tristesse, douleur, solitude, dépression. Le sentiment de perte est très éprouvant émotionnellement. Tellement éprouvant que seul vous n’arrivez pas à vous en sortir. Dans ce cas vous pourrez avoir besoin d’être accompagné…
Alliance thérapeutique
Dans la vie courante, lors d’un premier contact, les composantes relationnelles (la méfiance ou la confiance, l’hostilité ou la séduction..) se trouvent au premier plan. Il s’agit d’évaluer la personne qui est face à nous afin de savoir comment se comporter avec elle, quoi lui dire et comment lui dire…
DSM
Le DSM (en anglais, Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est une classification des maladies et des troubles mentaux développée par l’American Psychiatric Association (APA).Le comité pour la nomenclature et les statistiques de l’American Psychiatric Association publie en 1952 la première édition du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-I). Le DSM III marquera un petit tournant évolutif dans sa conception en intégrant des critères diagnostics plus précis, un système multiaxial et athéorique, il tentera d’avoir une approche descriptive neutre par rapport aux différentes théories étiologiques.